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Techniques japonaises

Héritage culturel : entre tradition et modernité

Charlotte Mazalérat par Charlotte Mazalérat 26 novembre 2024
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Produire du bois d’oeuvre sans avoir à couper des arbres

Le Daisugi ou Dai Sugi est une technique japonaise forestière unique. Inspirée de la taille des bonsaïs, cette technique de culture favorise la préservation des forêts en réservant la coupe de certain...
Charlotte Mazalérat • 26 novembre 2024
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Alternative à la descente de gouttière pour eaux pluviales

D'origine japonaise, les "Kusari Doï" ou "Kusari Toï", littéralement " des chaînes gouttière" et plus connues sous la formulation  "chaîne de pluie" sont des équipements pouvant remplacer une de...
Charlotte Mazalérat • 09 octobre 2024
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Techniques bois pratiquées en Europe et au Japon

Ce livre met en lumière l'art de la menuiserie et les différents assemblages de bois utilisés en Europe et au Japon. Il met en avant les similitudes et les différences entre deux cultures, tout en exp...
Charlotte Mazalérat • 09 juillet 2024
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L'art des charpentiers japonais : retour sur une exposition

Au Japon, les bâtiments en bois sont très nombreux et font partie intégrante de l'architecture traditionnelle japonaise. Des exemples célèbres incluent le temple Horyû-ji à Nara, considéré comme la pl...
Charlotte Mazalérat • 15 mars 2024
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Logiciel Tsugite. Assemblage à tenon et mortaise sans clou ni vis

Le "Tsugite" désigne l'art millénaire des menuisiers japonais, capables d'assembler des pièces de bois sans colle ni clou ni vis, par simple emboîtement.
Charlotte Mazalérat • 25 mai 2023
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Les portes et panneaux en bois

« Kumiko » est une technique traditionnelle japonaise. Elle est utilisée dans la réalisation de porte et panneaux en bois appelé « shōji », elle reprend le principe « Kigumi » qui est d’assembler un o...
Alexandre Douet • 27 septembre 2021
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Assemblage complexe d’une charpente

Le DOUGONG est un assemblage d’origine chinoise qui serait apparu les derniers siècles avant J.-C., puis se serait généralisé pendant la dynastie des Tang (618-907). Celui-ci est utilisé depuis près de 2500 ans dans la fabrication des temples, palais impériaux et reprend le principe d’assemblage par emboîtement sans clou ni colle. Le DOUGONG est devenu un des éléments les plus importants et les plus caractéristiques de l’architecture chinoise. Il est réalisé avec le bois de Nanmu ( 楠木). Celui-ci pourrait s’apparenter à une espèce de mélèze et est également employé dans la construction des bateaux, des édifices, du mobilier et en sculpture. Il est considéré comme un bois précieux et se trouve uniquement en Chine et en Asie du Sud. À l’époque, ces assemblages sont un signe de pouvoir et certains d’entre eux sont réservés notamment au palais de la « cité interdite » Il était défendu de les reproduire, cela aurait été perçu comme une offense envers l’empereur en prétendant pouvoir être son égal. L’ensemble des éléments architecturaux, que ce soit la forme, la couleur, les ornements sont révélateurs des codes et coutumes qui prenaient place à l’époque des constructions. Par exemple, il existe de nombreuses variantes dans les tracés ou les proportions des assemblages DOUGONG. Le nombre de rangées a également son importance, car il va déterminer l’avancée de toit. On retrouve des rangées de 3,5,7 ou 9 rangs. Les superpositions de DOUGONG augmentent selon le statut de la personne. (CC BY-NC-ND 2.0) Julie Laurent  Détails d’un DOUGONG sur un des palais de la cité interdite à Pékin. (CC 0 1.0) Gary Todd  Tour d’angle dans la cité interdite à Pékin. Le DOUGONG a permis de construire des tours d’une grande hauteur afin de voir arriver l’ennemie.
Alexandre Douet • 26 août 2021
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La technique Yosegi-Zaiku

La technique Yosegi-Zaiku
Alexandre Douet • 28 mai 2021
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Vous avez dit réversible ?

Comme évoqué avec la technique Kigumi dans une précédente publication voici un bel exemple de la réversibilité d’un ouvrage à travers le désassemblage d’une maison bois japonaise, 92 ans après sa cons...
Alexandre Douet • 27 mai 2021
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Connaissez-vous la technique kigumi ?

Le kigumi est une technique japonaise d’assemblage de pièces en bois sans clou, ni vis, ni colle. Les japonais parlent également de l’esprit du kigumi, de l’art d’assembler du bois.
Alexandre Douet • 16 avril 2021
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Le Kintsugi

Est-ce une technique, un art, une philosophie ?
Alexandre Douet • 01 avril 2021
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Paper Wood

Créée en 1936, la société Takizawa Veneer fabrique des placages et des panneaux de contreplaqué sur l'île d'Hokkaido au Japon à partir d'essence locales.
Mathieu Hugon • 08 mars 2021
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Yakisugi

Yakisugi ou Shou Sugi Ban est une technique japonaise traditionnellement utilisée avec le bois de cyprès puis de cèdre afin de protéger durablement les bardages des maisons. Cette technique dite de "bois brûlé" est née au 18e siècle. La surface du bois est brûlée et doit prendre un aspect craquelé. Cet effet est plus ou moins marqué selon l'essence et la durée et profondeur de combustion. Le revêtement obtenu prend des teintes variées allant des noirs aux gris, aux bleus, aux cuivrés. Ce traitement renforce la résistance du bois face aux incendies. L'enveloppe carbonisée le protège des intempéries, des parasites, des moisissures, des insectes. La texture fendillée, les teintes noircies sont obtenues par procédés chimiques. Cette technique ancestrale japonaise a des atouts. En effet, l'action du feu sur le bois reste naturelle. Les résultats obtenus participent à l'atmosphère décorative de l'agencement et répondent aux tendances. Le bois est traditionnellement brûlé dans une cheminée en bois triangulaire. En Occident, la dimension esthétique des bardages en bois brûlé séduit. Cette technique est réutilisée afin de magnifier l'apparence de certaines essences notamment celles du chêne, du pin, du mélèze, tant en menuiserie intérieure qu'extérieure. Le brûlage du bois s'effectue au chalumeau. L'apparence du bois est multiple : plus ou moins carbonisée, plus ou moins polie. Plutôt que d'utiliser des produits chimiques pour obtenir une texture fendillée noircie, cette technique ancestrale japonaise est naturelle. L'action du feu sur le bois permet d'avoir des résultats variés. Cette dimension esthétique participe à l'atmosphère décorative de l'agencement et répond aux tendances. 
Charlotte Mazalérat • 16 juillet 2020
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Mort de l’architecte japonais Arata Isozaki, passeur entre deux rives

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Géant du postmodernisme, l'architecte japonais Arata Isozaki est décédé à l’âge de 91 ans. Prolifique et cosmopolite, il n'a eu de cesse de faire dialoguer la tradition orientale avec les enjeux architecturaux contemporains.  Cet article Mort de l’architecte japonais Arata Isozak...