La mise en avant de ce cuir en « seconde main » permet de séduire de nouveaux consommateurs. Par exemple, les populations les plus jeunes sont davantage concernées par le sujet climatique. Avec des produits en cuir d’occasion, elles pourraient alors se tourner à nouveau vers ce matériau noble.
Les professionnels peuvent ainsi avoir intérêt à développer des services de la réparation et du cuir « seconde main ». Cette opportunité ne concerne pas uniquement les professionnels de la cordonnerie ou de la botterie. Il est désormais possible de marketer des articles en cuir réparés ou recyclés, en particulier dans la mode. L’entreprise Galoche & Patin propose par exemple des services de cordonnerie à domicile, dans une démarche d’économie circulaire.
Futur du luxe : comment la filière du cuir durable s’impose peu à peu ? - Féoni
Quel chemin doit emprunter la filière cuir face à des acheteurs de plus en plus conscients de l’impact qu’ont leurs achats ?
Alors pour vous, est-ce la « seconde main » représente l’avenir du cuir ?
Quelle place lui donnez-vous aujourd’hui dans votre activité ?
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